CORTEX (DIPTYQUE)

Lieu

TAPS Laiterie - Strasbourg

Compagnie

Compagnie Cortex

Réalisations

Scénographie, costumes, accessoires

Date de création

Janvier 2025

CORTEX Diptyque 

Deux textes pour un seul spectacle qui traite sans tabou de la santé mentale, et où émotions et humour font écho à l’écriture singulière et sensible de deux autrices. 

Deux personnages qui passent de l’ombre à la lumière grâce à une traversée initiatique au cœur de leur propre vie.

Fermer le livre (de Mélie Néel) nous plonge dans l’exploration du lien intime entre écrivain et lecteur,
 entre ceux qui font les œuvres et ceux qui les reçoivent.
Il questionne la maladie mentale et la place de l’art pour s’en sortir. 
«- Tu fais quoi dans la vie?
– Rien. Je suis folle à mi-temps, et le temps restant, je range la maison de ma mère. Je la vends. Pas ma mère – elle est morte – la maison.»

Sous la route (de Catherine Monin) nous emmène dans une visite fantasque et guidée
 dans le cerveau délaissé d’un homme qui dort debout.
« Pom pom. Ce battement déposé en chacun de nous est notre substance rythmique… Nous dansons tous sur cette mélodie intérieure qui s’accélère… quand on aime, quand on court, quand on a peur… »

Les croisements se font à l’endroit des mots, du goût pour la langue, du plaisir des deux comédien.nes à incarner plusieurs personnages et aller à l’endroit du double.
C’est dans ce contexte de dualité et de complémentarité que les deux œuvres se rencontrent.

Textes :
Fermer le livre de MÉLIE NÉEL
Sous la route de CATHERINE MONIN
Mise en scène : OLIVIER CHAPELET
Jeu : PAULINE LEURENT, LOGAN PERSON
Scénographie, COSTUMES : VIOLETTE GRAVELINE
Création lumières : BARTHÉLÉMY SMALL
Création son : OLIVIER TOURATIER
Régies : CHRIS CARIDI
Soutien technique  : PHILIPPE LUX
Stagiaires à la scénographie : NINON BLANCHIET et YASMINE MOSTEFA-KARA
Stagiaire, assistant à la mise en scène : MALO BRIELLES
Production : ARTENRÉEL #1 

Coproduction, résidence :TAPS – Théâtre Actuel et Public de Strasbourg

« Ce qui importe, c’est le passage, il ne faudrait jamais rien voir que ça : l’invisible mouvement de ce passage mais sans cesse perpétué. »
Claude Régy