« J’appartiens à ce que j’oublie »
Cette série réfractent l’obscurité, le vertige, l’oubli, la disparition, révélant une lumière des origines, une profondeur insoupçonnée.
Réalisation de la couverture du recueil de poésie Une comète de François Graveline, paru aux éditions de la Crytpe.
« Ce qui importe, c’est le passage, il ne faudrait jamais rien voir que ça : l’invisible mouvement de ce passage mais sans cesse perpétué. » Claude Régy